| Sujet: MARSHBASS Dim 11 Mar - 16:49 | |
| ❝ Louis Marshbass Il ne faut jamais se fier aux apparences.- - - - - - - - - - - - - - - - → Prénoms : Louis ; → Nom : Marshbass ; → Âge : 21 ans ; → Nationalité : Anglais ; → Orientation sexuelle : Bisexuel ; → Civilité : Célibataire ; → Études/Métier : Etudiant ; → A Oakdale depuis ? Plusieurs années ; → Groupe : Water Lily Lane ; → Avatar : Jeremy Young ;
Un passé déjà écrit → Louis n'a pas connu ses parents. Il a été adopté à l'âge de 8 ans par un jeune couple venu des Etats-Unis. La mère étant française et le père américain. Il a toujours été un enfant plus ou moins sage et est très social. Il ne ressentait aucune tristesse a ne pas avoir de parents à l'époque de l'orphelinat. Il a quitté l'Angleterre à l'âge de 15 ans pour aller vivre aux Etats-Unis, à Oakdale. S'il n'aime pas spécialement regarder la télévision, il est accro à la série télévisée How i met your mother. Louis est allergique aux poils de chats, prends très vite des coups de soleils, marque rapidement et à peur des chevaux. Il est très gourmand et aime manger, frillant de poisson et de yaourt avec le fish and chips, typiquement anglais. S'il adore les pizzas il a cependant horreur des fast food. Il est bilingue : parle le français et l'anglais. Louis a horreur du désordre et est maniaque de la propreté. Il a la manie de ranger ses stylos en lignes sur son bureau et de tailler ses crayons gris après chaque utilisation. Il est ambidextre. Louis joue de l'harmonica et de la guitare. Il aime les petits seins et est aussi attiré par les garçons - même si de ce côté là il est plus compliqué. S'il regarde en premier les yeux d'une femme, il porte ensuite attention à son sourire, à sa nuque puis à ses mains. Chez les garçons, il regarde d'abord les yeux et ensuite les fesses. Il est très observateur, parle très peu de lui et n'aime pas spécialement ça - se confier.
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La neige tombait en gros flocons dans le ciel de Londres. Le sol était déjà recouvert d'un manteau blanc et la ville semblait vivre au ralenti. La circulation était dense et rouler vite était devenu très dangereux. Les piétons encore dehors se pressaient, en quête de chaleur, dans la hâte de retrouver leur chez-soi pour boire un chocolat chaud devant le feu de cheminée. Si la neige tombait, le vent soufflait en grosses rafales – ce qui rendait ce début de soirée plus désagréable encore qu'elle l'était déjà. Les courants d'airs assassins vous gelez jusqu'à la moelle si vous aviez le malheur de mal fermer votre manteau – et rendait quiconque grognon.
A l'angle d'une rue piétonne, les fenêtres du troisième étage d'un grand bâtiment s'allumaient chacune leur tour. C'était l'un des orphelinats de la ville – le principal plus grand se trouvant à la sortie de Londres, à la lisière d'un bois et de champs de blés. Au centre ville, c'était un établissement privé, tenu par des bonnes sœurs et où il y avait exclusivement des garçons. Une cinquantaine sans doute : un petit comité comparé au public qui comptait peut être deux cents enfants, garçons et filles confondus.
Un panier en osier était posé juste en face des doubles portes en bois du grand bâtiment. Depuis combien de temps ? Assez pour que les joues de ce nouveau né soient congelées. Allait-il rester là toute la nuit, au risque de périr dans le froid ? Il n'était pas de taille pour surmonter ce temps glacial - que même une personne adulte avait du mal à supporter en cette période de l'année. L'hiver était si rude et cette nuit avait été déclarée comme l'une des plus froides de l'an 1990. Comment pouvait-il survivre ? Quelle était la mère qui l'avait abandonné ici, au risque que son enfant y laisse la vie – sans avoir eut la chance de grandir ?
Un taxi s'arrêtait devant l'orphelinat et un homme en descendit quelques secondes après. Il se pressait vers les portes en baissant la tête pour protéger son visage du froid. Emmitouflé dans un long manteau gris, il retenait son chapeau qui risquait de s'envoler à chaque nouvelles rafales. « Doux Jésus ! » s'exclamait-il en découvrant l'enfant dans le panier en osier. Il s'agenouillait à côté et porta l'enfant dans ses bras, martelait la grosse porte en bois de grands coups de poings.
* Les sœurs me disaient souvent que c'était un miracle que je sois encore en vie à ce jour. J'avais été retrouvé par Père Lazare aux portes de l'orphelinat tandis qu'il rendait sa visite du mois pour prendre des nouvelles des garçons qui vivaient ici. Le froid de février 1990 avait manqué de me tuer, heureusement que le prête avait été là, pour me sauver. J'étais ce qu'on pourrait appelé le miraculé – nouveau né sans identité, nous n'avions jamais su dire qui était mes parents. Pas une lettre dans mon berceau de fortune alors que j'étais à la merci de l'hiver. Rien. On me baptisa Louis.
J'ai vécu huit ans à l'orphelinat – au milieu de garçons que je considérais comme mes frères. Je me souviendrai toujours d'un matin de février, un 14 – le jour de mes huit ans. J'étais le roi de la journée – gâté de petits cadeaux qu'avaient prit soin de confectionner mes camarades. J'étais aux anges toute mon enfance et si l'absence de parents pesait sur certains orphelins, je ne montrais aucun signe de regret, à ne pas en avoir. J'étais heureux avec ce que j'avais, cela aurait put être pire et même si j'étais trop jeune, je comprenais que j'aurais put mourir. Je ne croyais pas en Dieu, donc ne baser pas ma survie ni sur un miracle du Saint Esprit ni par l’existence d'un Père divin. La seule personne à qui je devais ma vie était Père Lazare qui a chacune de ses visites, réchauffait mon cœur.
« Louis, je te présente monsieur et madame Marshbass. » Je regardais sœur Emmanuelle quelques secondes encore après son annonce. Puis, tournais mes yeux vers le couple qui se tenait devant moi. L'homme était très grand, brun et portait un costard cravate. La femme, qui tenait la main à son époux me regardait déjà avec une affection que je devinais profonde. Ses yeux brillants et bleus fût la première chose qui m'interpellait chez elle. Car si mon futur père avait les yeux marrons, ils n'étaient pas aussi jolis que ceux de futur maman. Je me sentais bizarre, le ventre noué – les mains devenues moites, je tremblais un peu aussi et ne savais plus où me mettre. J'étais un peu perturbé car je savais qu'à partir de ce jour, rien ne serait plus comme avant. J'allais quitter l'orphelinat : le seul endroit que j'ai connu depuis que je suis né, j'allais abandonner mes amis et j'avais tout aussi peur de regretter la vie ici. La veille de mon adoption, Karl m'avait pourtant rassuré en disant que j'allais connaître mieux, que j'avais une chance énorme. C'était mon tour de partir, avait-il souligné et même si cela le rendait triste, il était si heureux pour moi. A le voir si excité, j'aurai parié que c'était lui qui allait être adopté. Ses yeux brillaient d'une façon étrange mais je lisais aussi dans son regard une grande tristesse. Karl souffrait de cette solitude affective, en voulait à la Terre entière d'avoir été abandonné le jour de ses 2 ans. Il ne se souvenait pas de ses parents...et s'il était en colère envers eux, ils n'étaient pas les plus coupables selon lui. Il n'avait jamais réussit à m'expliquer ce qu'il haïssait le plus entre ce sentiment d'abandon et la peur de vivre seul. Ce dont j'avais peur pour lui c'était de savoir ce qu'il allait faire après mon départ. Je l'avais accueillit comme un frère et il était l'ami en qui j'étais le plus proche.
J'avais embarqué dans une limousine noire, conduite par un homme, mes nouveaux parents à l'arrière avec moi. Je m'étais retourné vers la fenêtre arrière pour espérer saluer Karl et mes autres amis – qui le nez collait contre l'une des vitres du rez-de-chaussée agitaient leur main pour me dire au revoir...rien qu'une dernière fois. C'était vrai que j'avais la trouille !
Marianne et Jack habitaient Oakdale. Ils possédaient une splendide demeure à l'immense jardin, dans laquelle je me sentit bien dès que j’eus passé la porte d'entrée. C'était plutôt bon signe – et tâchais d'oublier la peine que je ressentais à être loin de ceux qui avaient toujours été là pour moi dans ma vie. L'orphelinat allait me manquer mais sans doute la vie ici, quand je repensais à ce que m'avait dit Karl allait être mieux. Du moins, aussi bien...rien ne pourrait égaler le bonheur que j'avais eut dans les huit premières années de ma vie. Je m'étais couché de bonne heure, fatigué par ma journée et d'après Kirsten, une grande surprise m'attendait le lendemain. Marianne et Jack venaient m'embrasser sur le front avant d'éteindre la lumière de ma très grande chambre décorée avec soin pour ma venue et quand j’eus fermé les yeux, j'avais une unique hâte : que le soleil se lève et que je découvre ce qu'il m'attendait encore. […] Ce fût mon premier jour d'école : inscrit dans un établissement privé. Ma première surprise fût de constater qu'il y avait des filles. J'avais toujours vécu autour de garçons et même si nous en parlions entre nous, j'avais toujours voulu en rencontrer une. Elles étaient la source première de ma curiosité et ce fût la raison pour laquelle, mon premier jour d'école, je restais assis dans un coin à regarder le monde tourner autour de moi. J'observais les uns et les autres – subjugué par la beauté des petites filles, j'avais envie d'être demain pour en aborder une. Sauf que je n'avais pas à attendre. Comme si je ne me sentais pas prêt pour cette épreuve et pourtant l'une d'entre elles venait à moi. Son sourire rayonnant me fit chaud au cœur et eut le don de me rassurer d'un seul coup. Elle était ma meilleure amie et l'ai toujours à ce jour.
Et toi alors, tu es qui ? Dits nous tout !
→ Prénoms : Pauline ; → Pseudo : Adoko ; → Âge : 19 ; → Pays/Régions : France (07) ; → Comment tu as atterri là ? : Bazzart ; → fréquence de connexion : Le plus fréquemment possible ; → Un commentaire ? : J'aime les biscottes ;
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| Sujet: Re: MARSHBASS Dim 11 Mar - 16:55 | |
| J'adore le pseudo, et Jeremy est un excellent choix ! Bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: MARSHBASS Dim 11 Mar - 16:57 | |
| Merci beaucoup Andres, excellant choix d'avatar aussi |
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| Sujet: Re: MARSHBASS Dim 11 Mar - 17:00 | |
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| Sujet: Re: MARSHBASS Dim 11 Mar - 17:16 | |
| Bienvenue sur Oakdale ^^ as tu finis ta fiche? |
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| Sujet: Re: MARSHBASS Dim 11 Mar - 17:18 | |
| Merci les filles ! Fiche terminée |
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| Sujet: Re: MARSHBASS Dim 11 Mar - 17:23 | |
| J'aime beaucoup ta fiche, et je sens qu'on va bien s'entendre si tu aimes HIMYM lol Tu es validé, n'oublie pas de faire la demande pour ton groupe ❝ Ta validation. Oui, oui, sa y est, tu es officiellement un habitant de Oakdale ! - - - - - - - - - - - - - - - - - → Bon comme tu as à tes pieds un staff trop mignon, on va te filer un coup de main pour vite te faire au forum et à son fonctionnement. Le forum est basé sur un système de points particulier, il est donc primordial de jeter un coup d’œil à la liste des points . Ensuite, toujours par rapport à ses points tu dois créer une fiche pour pouvoir les gérer convenablement. créer ta fiche "rapport de points" . ATTENTION. Tu peux gagner des points mais aussi en perdre. Tu peux venir réclamer des points où bien dénoncer quelqu'un qui doit en perdre. Pour ça, c'est par ici .Ensuite tu as les inconditionnels liens que tu peux trouver et/ou construire en te créant là aussi une fiche. créer ta fiche liens . Et puis si tu ne trouves pas tout à fait ton bonheur avec les liens qui te sont proposés, tu peux créer un scénario, voir plus, surtout pour te faire une famille. faire un scénario. Bon ben après je crois que tu connais le discours. On te souhaite un bon jeux parmi nous...n'ai aucune pitié pour les autres ! mouahahah. Faits de ta vie un rêve....ou un cauchemar. A toi de voir. et si tu as des questions, c'est par là cette fois. A très vite.
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