Abigaël ▲ hurts like heaven

→ Prénoms : Abigaël Rachel ; → Nom : James ; → Âge : vingt-quatre ans ; → Nationalité : néo-zélandaise ; → Orientation sexuelle : Hétérosexuel ; → Civilité : Fiancé ; → Études/Métier : Fleuriste ; → A Oakdale depuis ? dix ans ; → Groupe : hyacinth lane; → Avatar : Emma Roberts;

Un passé déjà écrit

« Tu es encore dans le jardin? » Je relevais la tête des jonquilles, en regardant mon père qui venait me chercher pour qu'on aille déjeuner chez nos grands-parents. J'avais sept ans et mes parents venaient tout juste de se séparer. J'avais trouvé une sorte de refuge dans les fleurs et dans la nature. Il faut dire, sur notre île de la Nouvelle-Zélande, la nature était à perte de vue. On avait rien des ancêtres de Maori, je n'avais pas hérité du teint mat de ma mère, mais tout de mon père, anglais de souche. « J'aime les fleurs. » C'était une évidence, à travers elle on pouvait facilement exprimer nos sentiments. J'en cueilli une comme il m'avait appris avant de me relever. « Celle-là sera pour grand-mère. » Il passa une main dans mes cheveux avec un sourire aux lèvres. Depuis toute petite j'étais proche de mon père, ma mère avait claqué la porte et n'était pas venue quand on avait jugé qui aurait ma garde. Mon père avait gagné sans se battre et on avait fêté ça en allant manger une glace à la pistache: ma glace préférée. Puis on avait été se balader au bord de la mer. On ne pouvait pas dire que j'étais malheureuse. J'adorais vivre dans cette nature verdoyante et voir l'océan à perte de vue, je me sentais si libre.

Cette liberté à pris fin à l'âge de quatorze ans. Je venais de finir une nouvelle année de collège quand mon père m'a sorti cette phrase fatale: « On déménage. » Dans mon esprit, on changeait juste de ville mais on restait sur notre île mais non... Les Etats-Unis. Rien que ce mot me fit peur et au vue de mon visage devenu blême, mon père me rassura. Son patron l'avait muté avec là-bas avec une énorme promotion. Je m'en moquais je voulais rester ici. « Tu ne peux pas me faire ça, m'envoyer dans cette jungle avec toutes ces filles qui vont rire de moi car je ne suis pas dans le coup. » Fis-je avant de fondre en larmes, terroriser à l'idée de quitter ma nature. Mes forêts, mon bord de mer, mon jardin, mes fleurs. Mon père me prit dans mes bras en m'embrassant sur le front. « Ne t'inquiètes pas, en quelques mois tu verras, ce sera comme chez toi. » Comme chez moi. Il me promit que j'aurai un énorme jardin, rien que pour moi que l'on aurait une grande maison et que je pourrai avoir tout ce que j'avais souhaité. Je pourrai avoir la Nouvelle-Zélande chez moi? J'en doutais. J'ai fais mes bagages à contre-coeur, embrasser papi et mamie et le jour du départ j'ai pleuré longuement dans l'avion. En arrivant, j'ai senti l'air obstrué mes poumons. La fraicheur de la Nouvelle-Zélande n'y était plus.

« Franchement tu as vu son attitude? Elle se drogue j'en suis sûre. » Parce que j'étais libre d'esprit je devenais une droguée au yeux de tout ces adolescents immatures. Je n'aimais pas le lycée, et je ne voulais pas aller à l'université. Depuis notre arrivée ici, j'étouffais, je respirais mal. Toutes les nuits dans mes rêves, je voyais mon pays qui me manquait tant, mais mon père devenait de plus en plus intransigeant en me disant de faire des efforts! Il a rencontré une femme. Femme qui fait partie de notre vie quotidienne. Je ne l'aime pas. Elle est maquillée comme un pot de peinture, s'habille comme si elle sortait d'un défilé de mode et parle bizarrement. Un jour elle est venue me voir dans mon jardin – au moins mon père ne m'avait pas menti là-dessus- et elle m'a demandé: « On va faire du shopping? » Je l'ai regardé. « Non. » « Tu devrais au vue de ton look. » Je serrais mon sécateur entre les mains tellement fort que je ressentais une douleur. Quoi mon look? Un jean, des baskets et un tee-shirt et nous voilà plouc? Je détestais cet endroit. « Très joli tes fleurs. » Je relevais la tête avant de constater qu'une fille d'à peu près mon âge regardait par dessus la haie. Elle souriait, et n'avait pas l'air méchante. « Tu es nouvelle dans le quartier non? Moi c'est Jamie. » Jamie c'est une fille vraiment adorable, mais elle m'a dit que mon look craignait et c'est grâce à elle que j'ai commencé intéresser un peu à la mode et c'est aussi grâce à elle qui m'est venue d'abandonner le lycée. Un soir j'ai dis à mon père : « Je veux entrer dans une école pour être fleuriste. » il m'a regardé avant d'hausser les épaules. J'avais envie de pleurer. A cause de cette femme mon père n'était plus mon père et je suis partie en claquant la porte.

« Je voudrais un bouquet de douze roses rouges s'il vous plait. » Je relève la tête des bouquets que j'étais en train de finir avant de voir un homme de près de trente ans. Mignon. Or roses rouges signifiaient les roses de l'amour. Aucune chance donc. « Bien entendu monsieur. » Je lui fis son bouquet avant de l'envelopper dans un très beau papier. J'étais en train de regarder quand mon collègue et ami me tapota l'épaule: « aucune chance. » Oui, c'était ce que je me disais aussi. Sauf qu'il est revenu un jour, puis un autre et encore un autre. Des fleurs différentes, mais plus de roses rouges. « Tu te fais des idées. » « Oh la ferme tu veux laisse-moi rêver! Je vis déjà un enfer chez moi. » Car oui, je n'avais toujours pas pu prendre un appartement et je devais sans cesse subir les remarques de ma belle-mère puisqu'elle était maintenant la femme de mon père. Un soir j'étais de fermeture et alors que j'allais retourner le feuillet disant que c'était fermé, il entra une nouvelle fois. « Vous savez ce que je pourrais offrir à une femme qui me plait? » « Des roses rouges? » « Oui bonne idée. » Je lui fis un bouquet alors que mon cœur se pinçait, et quand il le prit, il me le tendit, je ne compris pas tout de suite avant qu'il me déclare: « Vous me plaisez. »

L'annonce du déménagement n'a pas été simple pour mon père, par contre ma meilleure amie était heureuse. Elle aimait beaucoup Garrett. Mon père l'a mal pris, quand il m'a déclaré que de toute manière je faisais ce que je voulais mais qu'il ne fallait pas que je compte sur lui pour le futur j'ai compris que cette femme l'avait monté contre moi. J'ai pleuré en lui disant que je ne le comprenais plus et j'ai été habité dans l'appartement de Garrett. J'aimais ses je t'aime et ses petites attentions. On s'est fiancé et on a pris une maison parce que bientôt on sera trois. Mon ventre s'est arrondi en annonçant le cinquième mois de grossesse. On est heureux, mais je vois bien que son regard est différent. « Attends quoi? » Je le regarde et il m'annonce: « Oui, je ne suis pas officiellement divorcé. » Le choc. Je sors avec un homme marié, bien qu'il me déclare qu'il n'y a plus rien entre lui et sa femme je me demande pourquoi le divorce met autant de temps...

Et toi alors, tu es qui ? Dits nous tout !

→ Prénoms : Amélie ; → Pseudo : microwave/spicy.frog ; → Âge : vingt-et-un dans trois jours!; → Pays/Régions : Pays de la Loire, France ; → Comment tu as atterri là ? : bazzart! Mais ca fait longtemps que je voulais retrouver Ju' sur un fo ** ; → fréquence de connexion : tous les jours sauf exception ; → Un commentaire ? : Tu m'as convaincu de créer mon propre perso Ju ;

→ Bon comme tu as à tes pieds un staff trop mignon, on va te filer un coup de main pour vite te faire au forum et à son fonctionnement. Le forum est basé sur un système de points particulier, il est donc primordial de jeter un coup d’œil à la liste des points . Ensuite, toujours par rapport à ses points tu dois créer une fiche pour pouvoir les gérer convenablement. créer ta fiche "rapport de points" . ATTENTION. Tu peux gagner des points mais aussi en perdre. Tu peux venir réclamer des points où bien dénoncer quelqu'un qui doit en perdre. Pour ça, c'est par ici .Ensuite tu as les inconditionnels liens que tu peux trouver et/ou construire en te créant là aussi une fiche. créer ta fiche liens . Et puis si tu ne trouves pas tout à fait ton bonheur avec les liens qui te sont proposés, tu peux créer un scénario, voir plus, surtout pour te faire une famille. faire un scénario. Bon ben après je crois que tu connais le discours. On te souhaite un bon jeux parmi nous...n'ai aucune pitié pour les autres ! mouahahah. Faits de ta vie un rêve....ou un cauchemar. A toi de voir. et si tu as des questions, c'est par là cette fois.
Une dernière chose, pour faciliter l'organisation (et notre travail) pourrais tu compléter le code suivant pour le bottin et le poster à la suite de ce message s'il te plait ? Merci d'avance.
A très vite.

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