Un passé déjà écrit
CHAPITRE 1Emma ☼ Je me suis mariée avec John, alors que je n’avais que dix-huit ans. J’étais à peine majeur. Mais cela faisait trois ans que j’étais avec John et je l’aimais plus que tout. Mes parents n’étaient pas contents du tout. Le discours habituel vous savez « tu es trop jeune, tu fais la pire bêtise de ta vie ! ». Mais je ne l’ai écoutée pas, non j’écoutais mon cœur. Et John m’avait prouvée à plusieurs reprise que je pouvais comptait sur lui. On se marié pas pour rien non plus, j’étais enceinte. C’était sa manière à lui de montrer qu’il voulait assumer. Et il l’a fait. Neuf mois plus tard ma jolie Sarabi montrée le bout de son nez. Elle est arrivais comme une lettre à la poste, ce fut un accouchement facile.
John ☼ Je crois qu’Emma a déjà tout dit. Elle est comme ça ma petite Emma. Avec son habitude d’avocate, exposé toujours tout, mais je l’aime comme ça. Quand on aime on prend la personne comme elle est. J’étais si heureux de voir ma petite fille, Ambre Léonie, je suis arrivé en retard à l’accouchement, je suis arrivé juste quand elle montrait le bout de son nez, elle était déjà si belle. Et puis déjà bébé on savait ce qu’elle allait devenir, elle adorait les étoiles et l’espace. Mon petit garçon j’ai moins eu la chance de le voir grandir. Etant donné que je suis dans l’armée de l’air, je suis souvent sur le terrain. Ce qui n’empêche pas que j’aime ma famille plus que tout au monde.
CHAPITRE 2J’étais tranquillement endormie dans mon lit. Je rêvais de milliers de choses. Mais les rêves sont fait pour être garder pour soi. Les rêves sont les envies, les folies de notre subconscient. J’avais sentie quelqu’un me gigoter dans tous les sens, pour me réveiller. Pour me faire sortir de mes rêves de petite fille. J’avais finalement ouvert un œil. C’était papa. Quinze jours que je ne l’avais pas vue, comme il est parti en mission. Sans rien chercher à comprendre, je m’étais levée dans un bond et je m’étais jetée dans les bras de papa. Il m’avait fait tourner comme j’aimais tant qu’il le fasse
« Tu te fais lourde ma fille ! Aujourd’hui tu sais que c’est un jour spécial ! Et un cadeau t’attend en bas file le voir ». Un cadeau ? Mais le fait que papa soit là était déjà un cadeau. A ce moment-là ce fut ma première pensée. Mes cheveux noir en bataille je lui avais dit
« Mais papa toi tu es mon cadeau ! Le plus beau de tous mes cadeaux ! ». Il m’avait serrée dans ses bras. M’avait dit qu’il m’aimait. Je lui avais répondu que je l’aimais aussi. Et finalement tous les deux nous étions descendu en bas. Maman était là. Elle s’était précipitée vers moi et ma dit en me prenant dans ses bras
« Bon anniversaire ma très chère fille ! Ouvre ton cadeau maintenant ! ». J’avais ouvert mon premier cadeau, un livre que je voulais depuis un moment, sur l’univers et ses mystères. J’avais criée de joie. J’ouvris le suivant, c’était ce que j’attendais, que je voulais tellement. Je m’étais mise à pleurer de bonheur. Mon premier télescope. Je l’ai gardée très longtemps. Et au fur et à mesure je l’améliorais par mes propres soins. C’était le plus beau de tous mes anniversaires. Je m’en souviendrais toute ma vie. Mes six resteront gravé à jamais.
CHAPITRE 3J’avais bien grandie depuis mes six ans. J’étais une adolescente de seize ans. Seize ans de vie à Londres et papa devait être muté en Amérique. Du coup déjà qu’on le voyait pas beaucoup. Maman a décidé qu’on le suivrait. Donc j’étais dans la voiture, les fenêtres ouverte. Entrain de m’imaginer, d’essayée de visualiser ce qu’allait pouvoir devenir ma vie à Oackdale Je rêvais d’aventure, de sens, de nouvelle vie, de nouveaux horizons. En arrivant là-bas, je me fis de nouveau ami. J’adorais ma vie là-bas. Puis j’avais rencontré une partie de ma famille maternelle, que je n’avais jamais vue. Dont Mike, mon cousin, il me fit visiter Oackdale et ses alentours. Il me montra tout ce qu’il y avait à voir. Il m’emmenait partout avec lui. J’ai beaucoup appris à ses côtés. Je lui ressemblais énormément. On était devenu comme frère et sœur à vrai dire. Il avait deux ans de plus que moi et je marchais dans ses pas. Il m’a emballée et j’ai aussi découvert mon futur métier grâce à lui. Je voulais être attachée de presse. C’est grâce à lui que je suis ce que je suis aujourd’hui. Il a eu son diplôme, un an plus tard je l’avais aussi. J’avais vingt-deux ans.