(F) Didonato ¤ Pour toi je me couperais les veines, avec mon sang je t'écrirais je t'aime.

→ Prénoms : Indiana prénom² ; → Nom : Raheli ; → Âge : 18 ans ; → Nationalité : Américaine; → Orientation sexuelle : Hétérosexuelle ; → Civilité : Complétement piégée. Arnaquée par un fils de chien, égoïste. Une saloperie arrogante. Un parasite que j'aimerai rayer de la surface de cette terre. Ouai mais voilà, s'il meurt, je le suis. ; → Études/Métier : En terminal, lycéenne ; → A Oakdale depuis ? 3 ans ; → Groupe : ici ; → Avatar : Emily Didonato ;

Un passé déjà écrit

→Histoire laissée libre. Je sais que c'est chiant de se plier à un plan. Du coup : je vous laisse cette partie en Freestyle. Évitez seulement les récits mêlant drogue et dépression. Respectez ces quelques points, uniquement :
- Très religieuse, elle a perdu quelques uns de ses principes à trop s'amouracher d'Emile.
- Son père est Rabbin. Et elle a trois frère plus grands qui ont longtemps monté la garde.
- S'est faite tatouée les initiales de Pitwick sur le poignet. Chose qu'elle arrive à cacher à ses parents. Chose qu'elle lui cache à lui aussi. Il trouve que se tatouer le nom d'un mec c'est comme se foutre un code barre sur la gueule. Ça sert à rien. Il dit ça haut et fort, lui qui n'a pas pu résister à la tentation de s'en faire un sur le torse. " Indiana , where my heart is " kitch.
- N'arrive pas à tourner la page d'une relation qui pourtant n'a jamais été officielle. Refuse catégoriquement tous les garçons de bonne famille qu'on lui présente. Dédaignant les bons partis. Son parti : c'est lui, point.
- D'un point de vue caractère : je verrai bien calme, quoique posséderait un langage châtié. Un langage qui contrasterait avec les valeurs inculquées par sa famille.
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Sans vraiment l'avoir voulu, ton histoire se mêle à la mienne.

→ «Man', j'te préviens, il est HORS DE QUESTION que je me traine ce boulet pour te faire plaisir » je crachais, plantant mon regard dans celui de ma mère qui dardait sur moi des éclairs « Sérieux, toi aussi. Tu m'aurais dit la fille Miller, d'accord seulement, t'as jeté un oeil à la gamine Raheli ? Merde. C'une couillonne lunaire. Nan merci ». Elle croisa les bras sur sa poitrine, elle avait toujours eu ce tic, il signifiait : quoique tu puisses dire, quoique tu puisses faire, n'oublie pas que je t'ai porté 9 MOIS dans mon ventre et ça, ça me donne tous les droits. «J'croyais que c'était de toi qu'on devait s'occuper, pas de moi. D'ailleurs, ça en est où avec ton masseur ?»« C'est un masseur. Ne change pas de sujet, fiston. Tu sortiras avec elle, point. Et pour clarifier les choses, son oncle est totalement célibataire, totalement juif et totalement sexuel ! ». Beurk. « T'es une putain de manipulatrice, maman. T'as pas honte de jouer les macquerelles sur ton propre fils ? Tu vends mon cul, là ! »«Hey , reste poli. » La suite vous la devinerez.

Je m'étais retrouvé un vendredi soir à devoir faire la sortie du lycée du coin. Souriant alors que j'aurais largement préféré hurler ma frustration. Je ne cherchais jamais à adresser la parole à cette morveuse plate comme une limande passée sous rouleau compresseur. D'une, parce qu'elle m'avait littéralement psalmodié des versets de la Torah relatant de je ne sais quel pêché de la chair. Comme si j'étais le pire pervers de l'univers ou le dernier des impis. De deux : elle s'était arrangé pour que je me retrouve à devoir faire la récitation à la syna' pendant les fêtes. Moi ? Sérieusement, vous m'avez vu ? De trois : parce qu'elle avait - avouons-le- un joli derche. Que si les deux raisons précédentes n'avaient flanqué à mon égo' des coups bien placé, je lui aurais fait la cours ( à ma façon).


«Indiana Jones, ramène ta tronche ». Ses yeux s'étaient levés au ciel. Sa bouche avait esquissé une putain d'moue qui - fais chier- me filait une fucking envie de lui en rouler une. Bref, je m'étais approché, j'avais exposé la situation. J'étais l'étudiant en fac par excellence. Le Fantasme de toute petite écolière aux hormones déglingées. J'étais son fantasme, malgré les protestations, malgré ce qu'elle pouvait avancer. La vérité était lisible dans ses yeux, dans ce langage corporel qu'elle adoptait lorsque je me trouvais à sa proximité. Son corps appelait à mes caresses, ses mots tranchants toujours blessants suintant une maturité malvenue à son age. J'me disais : bordel, elle avait quel age ? « Va te faire foutre par un bouc, Pitwick. Je sais ce qui se trame. Ta mater veut s'faire mon oncle.» J'avais été surpris de l'entendre s'adresser à moi en des termes si peu, polis. Je m'étais retrouvé à nourrir envers elle, une obsession malsaine. Mêlant l'envie irrépréssible de lui foutre une torgnole, cracher en plein dans sa figure et celle lui filer une seconde barmitzvah. Vulgaire ? Je suis un mec, j'ai toujours eu les idées mal placées. La suite, vous la devinerez.


« Le fils Issaiah ? Sérieusement ? Tu l'fais exprès, hein ? hein ? ». Les traits crispés, je lui faisais face, en pleine nuit. Dans son jardin, tous l'monde dormait à l'intérieur de chez elle. Elle me faisait face, à moi et à ma jalousie manifeste. Moi et ma fureur alors que quelques jours plus tôt, je lui avais craché des saletés à la face, pour mettre un terme à ce jeu cruel auquel nous nous adonions. Finalement, elle me livrait bataille. Participant à des rendez-vous arrangés presque tous les soirs. Agitant ses nouveaux " amis " sous mon nez. Damn it, j'voulais lui arracher l'coeur. Le lui faire bouffer. Elle seule pouvait me rendre aussi dépendant, aussi misérable, aussi revanchard. Crap, elle me tenait par les cojones, cette abominable garce. « Tu sais que je hais ce trou duc. Tu sais, tu sais.T'as rien à faire pour attirer mon attention que de te faire farcir par ces chiens en rute. Bordel, Raheli qu'est-ce qui t'prend ?». Qu'est-ce qui me prenait ? Pourquoi est-ce que je m'écrabouillais les cordes vocales à chuchoter alors que l'envie de crier me démeangait. « Tu dis que des conneries, Mile. Que de la bonne grosse vieille merde avariée !». La merde avariée, il fut un temps où elle kiffait. Un temps où mes paroles avaient pour elle un goût fruité. Bitch. « Laisse-moi tranquille, Pitwick. Dégage, remballe. Reviens pas, reviens pas ». Ses ongles s'enfoncèrent dans ma peau, griffant ma joue. Sale hyène. Je fondais sur elle, énervé. « Ta gueule, juste ta gueule». Mes lèvres se plaquèrent sur les siennes, mes mains agrippèrent sa paire de fesse tandis qu'elle se collait à moi comme une lianne. Ce jardin, il en a vu c'soir là. La lune fut témoin, encore une fois du cercle vicieux dans lequel on évoluait sans cesse, sans regret.

→L'avatar est négociable. Une brune de préférence ou bien une blonde. J'aime beaucoup les mannequins qui ont un petit air sainte ni touche. Ou bien sulfureuse. Mis à part Didonato, je verrai bien Swanepoel. Evidement, si tu as mieux à proposer.
--> Ensuite, j'exige un bon niveau RP. J'me fiche du nombre de ligne que tu fais tant que je prends plaisir à lire. I-e : sans fautes d'orthographes qui pourraient m'rendre chauve. Ni de fautes de conjugaison ignobles. tu voit
--> Une présence régulière. No worry, je sais que le RP c'un passe temps. On a tous une vie en dehors. J'AI une vie en dehors. Je ne chouine pas pour une suite dans l'immédiat, tu ne chouines pas ? xD
--> Vives les gros mots et les banana split. Approche, je ne mords pas.