NEALA (+) Don't let me go, 'cause i'm tired of sleeping alone.

→ Prénom(s) : Neala, prénom qui vient de mon arrière grand-mère, ma mère a décidé de me le donner en hommage à sa grand-mère qu'elle a tant aimé, on est très conservateur dans la famille apparemment m'enfin j'aime énormément mon prénom, mais dans un sens heureusement qu'elle s'appelait pas jeannette sinon je t'explique pas la honte, je crois que j'aurais collée un procès à ma mère pour qu'elle me change de prénom   ; → Nom : Hepburn, mes parents ne sont pas marié c'est donc pour cela que je n'est pas le même prénom que ma mère, j'ai hérité du nom de famille de mon père la classe hein ->  ; → Âge : 20 ans et toutes mes dents, majeur et vaccinés c'est comme tu veux (a)   ; → Nationalité : Si tu commences à vouloir parler de mes origines t'as intêret de prendre une chaise et t'assoir parce que tu en as pour un moment alors du côté de ma mère je suis française et italienne parce que ma grand-mère de son côté est née à Venise et a débarqué en Amérique à l'âge de six ans. Après il a le côté de mon père dont j'ai des origines mexicaine et texane. Tu me crois quand je te dis que j'ai beaucoup d'origine maintenant et si tu t'es enquiquiner ben t'avais pas qu'à demandé écoute (a)  ; → Orientation sexuelle : Hétérosexuel, j'aime les zizi et alors ça te pose un problème babe ?  ; → Civilité : En couple avec un abruti de première mais bon on fait avec.  Il m'a sorti de la rue donc je peu bien rester avec lui m'enfin c'est certain que je commence a réellement en avoir marre de lui et de son comportement, surtout que dans mon cœur il n'y a qu'une personne que j'aime vraiment. autant dire que c'est du compliqué tout ça, mais on fait avec. ; → Études/Métier : Serveuse au starbuck, mais j'ai fais des études dans le stylisme j'espère pouvoir un jour devenir styliste mais en attendant mon heure de gloire je sers au starbuck histoire d'avoir un salaire.  ; → A Oakdale depuis ?   Je suis née ici, genre je connais la ville comme ma poche c'est certain que tu pourras jamais me perdre ici à moins de m'avoir fait boire jusqu'à plus savoir où je me trouve, mais bon tu peux toujours essayer coco t'y arriveras pas c'est mon territoire (a)   ; → Groupe :   ❝ magnolia Lane. ; → Avatar : Selena gomez ;

Un passé déjà écrit

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Il y a vingt ans de cela, plus précisément le quatorze février mille-neuf cent quatre-vingt douze, une jolie petite tête brune faisait son apparition. Ses parents lui donnèrent un prénom à la hauteur de la beauté qui venait de naître, Neala . Neala fût le premier enfant de la famille Hepburn . Oui oui Neala c'est bien moi ! Je déteste qu'on parle de ma vie mais par contre je vais me faire un plaisir de vous raconter ce que j'ai vécu depuis que je suis née jusqu'à aujourd'hui, je pense que vous n'allez pas vous ennuyer, ben quoi ? ma vie est plus qu'intéressante (a). Je suis née dans une famille aisée. Je ne me plaindrais jamais de mon enfance bien au contraire. Mes parents m'ont toujours apportés tout l'amour dont j'avais besoin, je n'est jamais manqué de rien. Mon père était un grand avocat reconnu et ma mère une directrice de mode dans un journal national. Au début nous devions être deux, mais à la naissance mon frère jumeau est mort et il faut bien avouer que ma mère n'a jamais vraiment accepté le fait que cela soit moi qui est vécu et pas l'autre, mais bon c'est comme ça je me suis vite fait à ma vie de famille plus que compliqué. Depuis toujours je garde un énorme secret de famille, c'est certain que pour nos proches j'ai une vie de rêve, mais personne connait vraiment la vie que j'ai en réalité. Derrière mes sourires, mes éclats de rire et les affaires de luxes que je possède se cache une enfance que je ne souhaite à personne.  

A vrai dire je vivais un vrai calvaire le soir en rentrant de l'école, j'étais jalouse de l'enfance de certain de mon entourage, c'est vrai quand ils rentraient chez eux leurs mères les attendaient pour savoir leurs journées, mais moi le seul accueil que j'avais était froid sans aucun sentiment.  L'amour maternelle et paternelle je ne connaissais pas, personne n'était au courant de ce que je vivais vraiment j'ai toujours réussi à garder le secret derrière mon énergie et mon enthousiasme inépuisable, j'avais tellement honte de ce qui m'arrivais que j’espérais que personne ne l’apprenne. Se faire violer et frapper par son père n'était pas un truc facile à avouer ou même encore facile à dire, je me sentais tellement honteuse et sale que je préférai que personne ne soit au courant pour éviter que les gens changent de regard sur moi et qu'ils aient pitié de moi, c'était la dernière chose dont j'avais besoins. Je m'en sortais comme je le pouvais, j'essayais de passer un maximum de temps à l’extérieur de chez moi pour éviter tout ça, mais malheureusement tout recommençait. C'est certain que de dehors nous étions une famille tranquille sans aucune faute, mais finalement personne ne connaissait vraiment la vie que l'on menait.  J'ai tenté deux fois d'en terminé avec la vie, je ne voulais plus vivre tout cela même si je cachais tout ça je n'en pouvais plus, je me sentais tellement inutile que j'avais tenté, mais finalement rien y faisait j'étais encore la à subir tout ça. Malgré tout ça à l’extérieur de chez moi je restais une fille avec une énorme joie de vivre et des sourires à en avoir des crampes de joues (a) Tout cela pour caché ma détresse, depuis l'âge de six ans je subis ça et jamais personne ne l'a su.  J'ai fais des étude dans le stylisme, j'ai toujours rêvé d''être styliste et je dois bien avouer que dessiner me permettait d'échapper à mon quotidien loin d'être très joyeux,  quand je n'allais pas vraiment bien je prenais une feuille de papier et me mettais à dessiner des croquis de tenues, c'était mon seul moyen d'oublier tout pendant quelques heures.

J'attendais avec impatience le fait d'être majeur, moi ce n'était pas forcément pour faire la fête jusqu'à se retrouver par terre, mais surtout pour partir de chez moi. Depuis quelques mois maintenant je travaillais à droite et à gauche pour me faire mon propre argent sans que mes parents ne sachent quelque chose. Le jour de mes dix-huit ans ce fût le grand départ sans attendre une seconde je pris dans un sac des affaires vitales pour moi et j'avais quitté la maison familial pour me retrouver à la rue, oui c'est certain que cela n'avait rien avoir avec la vie que j'avais mené jusque là, mais j'avais besoin de repartir de zéro, me reconstruire une vie meilleure loin des personnes qui m'avaient fait tant souffrir.  Finalement j'étais tombé dans un squat, si au  début cela me faisait bizarre je m'étais très vite fait à cette vie. J'avais toujours ma place de serveuse au starbuck ce qui me permettait d'avoir toujours un peu d'argent sur moi, je ne pouvais pas me payer un appartement étant donné qu'il faut un appui parentale et que j'avais quitté les miens sans me retourner, je ne parlerais jamais de tout mon passée, mais c'est certain que je faisais une crois dessus pour vivre autre chose. Je me sentais déjà plus libre, je faisais exactement ce que j'avais envie de faire sans me poser de question, cette aventure me faisait grandir d'une autre façon. J'ai rencontré des personnes incroyable que je n'oublierais jamais c'est certain, il y a une personne qui a totalement changé ma vie, je parle bien évidemment de Jawaad.  Je ne pensais pas que je pourrais m'attacher autant à quelqu'un dans un milieu pareil, mais je m'étais totalement trompé, le beau brun en était la preuve vivante.  Je tenais tellement à lui que je devenais facilement jalouse des filles qui défilaient dans ses bras, c'est vrai après tout c'était mon Jawaad pas le leurs, oui je suis possessive et jalouse mais c'est comme ça je peux rien y faire, qu'on m'aime ou qu'on ne m'aime pas je changerai pas.  Ma jalousie envers lui vient peut-être du fait que j'avais l'impression que quand il passait un moment avec elles il m'oubliait, oui je sais c'est totalement nul, mais c'est ce que je ressentais. Après je le boudais toujours, mais il savait toujours avoir les mots pour finalement  me redonner le sourire, j'étais faible avec lui (a).  Le beau brun était loin d'être un enfant de cœur, bien au contraire sa réputation était loin d'être bien et sincèrement je n'ai jamais pu supporté ses conneries, je ne pouvais pas jouer à la maman et l’empêcher d'en faire étant donné qu'il avait bien plus d'autorité que moi, mais je détestais tout simplement ça chez lui.  Le jour où il a été emprisonné m'a déchiré le cœur, quand j'avais appris la nouvelle je m'étais réfugié dans un endroit caché de tous et j'avais pleuré un long moment ma raison d'être depuis  neuf mois était en prison, je ne savais pas quoi faire sans lui. Depuis que je vivais ici, mes journées et mes nuits se passaient avec lui sans jamais se quitter sauf quand j'allais au travail, mais sinon j'étais toujours dans ses bras. Désormais je devais essayer de vivre sans lui chose que je ne pouvais pas m'imaginer. J'avais réussi a allée une seule fois en prison le voir, c'était trop dure pour moi de le voir ici, sachant qu'au fond j'étais certaine qu'il était quelqu'un de bien, mais ses conneries l'avaient amenés tout droit dans ce trou et  même si cela m'avais fait énormément mal j'avais été la plus sincère en lui avouant que je ne viendrais plus lui rendre visite ici. Je sais que c'est horrible, mais de le voir ici cela me fait encore plus de mal, la raison ? Parce qu'il me manque horriblement et que rien n'est plus pareil au squat sans lui.   

Durant son absence je continuais de travailler, c'est certain que j'avais perdu ma principale joie de vivre, mais j'essayais de rester forte pour lui dans un sens parce que si moi je craquais ici alors que je suis libre de faire ce que je veux, je n'imagine pas lui qui est enfermé toute la journée. Je ne pense qu'à lui la journée comme la nuit il n'y avait que lui, c'est incroyable pour moi d'avoir se ressenti pour une personne, certes il n'était pas comme toutes les personnes que je connaissais, il était la personne pour qui j'étais prête à tout.  Pendant mon service j'avais fais la rencontre d'Eleyes, un très beau garçon je l'avoue, mais sincèrement je n'avais pas du tout le cœur à ça. Finalement je m'étais facilement faite séduire par lui, c'est certain qu'il avait une très bonne situation vu son travail. Je n'étais à vrai dire pas spécialement insensible à ses charmes, les sortis s’enchaînèrent pour que finalement je termine en couple avec lui, je n'aurais pas pensé que cela arrive aussi vite, mais finalement c'était le cas. Je ne m'en plaignais pas, c'est certain que dans ma tête et mon cœur il y avait toujours Jawaad, je ne pouvais pas oublier une personne qui m'avait permis de recommence une nouvelle vie, j'étais tellement attaché à lui.  Eleyes m'a très vite demandé d'habiter avec lui, je ne pouvais pas refuser ça sachant qu'au squat désormais plus rien ne me retenait. Je crois que le jour  où je suis allé cherché mes affaires fut le pire jour depuis neuf mois que je suis ici, au fur et à mesure que je récupérais mes affaires tous mes souvenirs ici remontaient à la surface, je ne pouvais contenir mes larmes, mais j'essayais au maximum que cela ne se voit pas. Ranger mes affaires ici, c'était comme-ci je disais au revoir à Jawaad et je ne pouvais pas me faire à l'idée que quand il reviendrait ici  je ne serai plus là, toutes les  promesses que je lui avais faites s'étaient envolés, je me sentais nul à un point même pas inimaginable.  J'ai quittée le squat depuis maintenant bientôt  quatre mois, ce n'est pas forcément pour autant que je me sens mieux. Certes Eleyes m'offrent tous ce que je rêve, mais finalement la seule chose que j'ai réellement envie de faire c'est d'être dans les bras de Jawaad, mais ça c'est impossible désormais. Il m'arrive souvent la nuit de repenser à toutes les nuits que je passais au squat confortablement installée dans les bras du beau brun, c'est certain que c'était loin d'être la vie que j'avais avant, mais pour être sincère la-bas avec lui j'avais vraiment été heureuse, c'est comme ça que j'ai compris que l'argent ne faisait pas forcément le bonheur. Plus les jours passent plus je me rend compte qu' Eleyes n'est pas fait pour moi, il est gentil mais ses crises de nerfs sont loin d'être de tout repos. «  Où t'étais ? Hein ?! » Je venais de rentrer du travail ne sachant  pas vraiment encore pourquoi il me tombait dessus, depuis deux mois il n’arrêtait pas de me taper des crises sans que je sache vraiment pourquoi et pour être sincère ça m’énervais au plus au point. Je suis loin d'être le genre de fille qui va voir à droite où à gauche.  «  STOP ! Arrête putain je rentre du travail faut que t'arrêtes de te faire des films ! » Il n'avait pas confiance en moi et ça se voyait comme le nez au milieu du visage, surtout que de lui ou moi celui qui certainement était plus le genre d'être un mec qui va voir ailleurs c'était bien lui. On m'a toujours dit de me méfier de lui et peut-être que finalement ils avaient raison après tout j'avais remarqué des messages légèrement beaucoup suspect sur son téléphone. Je savais aussi qu'aujourd'hui Jawaad sortait de prison, j'avais tellement envie d'aller le voir sauf que je n'en avais pas le courage.. J'avais pas le courage de le revoir après autant de temps passer loin de lui, c'est vrai autant il m'avait totalement oublié et que finalement pour lui je n'étais rien du tout... Ça me faisait tellement mal de penser des trucs comme ça, mais c'était l'impression que j'avais..  

Et toi alors, tu es qui ?

→ Prénoms : océane; → Pseudo : staystrong ; → Âge : 18 ans  ; → Pays/Régions : France ; → Comment tu as atterri là ? : bazzart mon ami   ; → fréquence de connexion : 6/7 j ; → Un  commentaire ? : qui veut des cookies   ;