MERNENDEZ + Seulement un nom, un simple nom qui trouble un visage

→ Prénom(s) : Félicitee Xuan ; → Nom : Mernendez ; → Âge : 46 ans ; → Nationalité : Elle a la nationalité espagnole et Américaine ; → Orientation sexuelle : Hétérosexuelle ; → Civilité : Célibataire ; → Études/Métier : Chef de la police. ; → A Oakdale depuis ?   30 ans ; → Groupe :   hyacinth lane. ; → Avatar : Lucy Liu ;

Un passé déjà écrit

→ Quand je repense à l'espagne, je pense à mon père, quand je pense à mon cours voyage en chine, je pense à mon père. J'ai beau pensé à tout ça, je n'arriverai jamais à me retirer cette histoire de la tête. Mes parents ne m'ont jamais laissai tomber. J'avais cinq ans, quand ma mère nous a quitté. Je m'étais installé sur le lit, les deux pieds dans le vide. Je la regardais branché sur toutes ses machines. Elle me tenait la main et la caressait doucement. Je souriais doucement en l'écoutant parler en mandarin. Je vais vous traduire ce qu'elle me disait. Elle gardait les yeux fermé et parlait tout bas : « Tu sais ma puce, ton père est un ange tombé du ciel. Il m'a retirai des bras de ton oncle. Je l'aime ton père et n'oublis pas, tu dois lui dire que tu l'aimes aussi. Il sera toujours la pour toi. Je l'aime. Je l'aime... » C'était fou à quel point elle l'aimait. C'est alors qu'un bruit long et insupportable se fit entendre. Mon père arriva en trombe m'arrachant du lit. Il me prit contre lui et s’écarta du lit avant que des demoiselles en bleu viennent s'occuper d'elle. Après une dizaine de minutes, le décès fut proclamé. Mon père avait passé la soirée, la nuit et le jour suivant à pleurer. Le soir, je dévalai les escaliers et sautai sur mon père qui était au salon. « Papá, te amo » Il se mit à sourire et embrassa mon front. J'étais très heureuse de le voir comme ça. Depuis la mort de ma mère, je n'ai jamais été aussi fusionnel avec mon père. Il  me rappelait constamment à quel point je ressemblais à ma mère et toutes les histoires qui me comptait me tenait suspendus à ses mots En apprendre plus sur ma mère me rendait heureuse et rêveuse d'avoir une vie comme la sienne.
→ J'avais quatorze ans quand mon père entreprit un voyage d'affaire à Oakdale. Je me souviendrai toujours quand il est venu me voir pour m'offrir l'occasion de le suivre. J'étais allongé sur mon lit, les pieds dans les aires, sur le ventre, à fixer le téléviseur accroché sur le mur. Je faisais allé mes pieds quand mon père entra dans ma chambre. Il s'était installé sur le pied de mon lit. Je m'étais redressai et approchai. Il semblait songeur. J'appuyai ma tête contre son épaule et le regardai. « que pasó papá? » Il se tourna vers moi et afficha un léger sourire. Il poussa un soupire et passa sa main dans son cou pour passer son bras autour de mes épaules. « Je pars pour l'Amérique. - Alors je viens. - Je ne reviendrai pas en Espagne. - Je viens quand même. » Il afficha un sourire me demandant de préparer ma valise pour samedi. Nous étions Lundi. Il s'y prenait un peu en retard faut croire. Dans l'avion, je discutais avec mon père pour mettre à jour son anglais et son français. Avec son accent, j'avais toujours envie de rire. Je tenais ce guide de Oakdale, la où j'allais vivre désormais. Les images était des plus belle et grâce au relation de mon père, j'étais déjà inscrit à l'école. Une fois que le taxi nous a déposé devant la maison, mon souffle fut coupé, c'était magnifique, j'étais fasciné par l'architecture. Je laissai tomber ma valise et courus à l'intérieur. Je montai à l'étage et ouvris la fenêtre d'un pièce je regardai mon père, en bas et le regardai en souriant. « Je prend cela! » Il se mit à rire en payant le chauffeur. Il le regarda partir et traîna les valises à l'intérieur. La maison était déjà meublé, ce qui était assez pratique, vu la distance que l'on avait parcouru. Le reste de nos affaires allait arrivé au courant de la semaine. Je couru un peu partout dans la maison avant de retournai à l'extérieur souriante. J'apperçu une dame de l'autre côté de la rue, la saluai vivement et elle me répondit avec un sourire. Je me tournai vers mon père. « Je peux aller faire un tour? - D'accord, mais prendre ton portable. - Oui papa. » C'est alors que je fis connaissance avec le quartier, magnifique et surtout remplit d'enfants.
→ « Michael, t'as compris ce qu'il a dit ? - Tu rigoles! J'ai rien compris. » Je poussai un soupire en reprenant mes notes, c'est fou à quel point mon ami ne faisait attention à rien. Si seulement c'était possible qu'il fasse quelque chose par lui-même. Je n'avais pas besoin d'un musclé dans mes pattes pour le côté intellect, mais je m'étais promis de l'aider et lui de m'aider. Je poussai un soupire et passai ma main dans mes cheveux. Je grognai et poussai mes papiers plus loin. Je tournai la tête vers Michael qui plaquait une cuillère sur son nez. Je poussai un rire et m'approchai pour l'embrassai. Il passa son bras autour de mes épaules. Je posai ma main sur son torse avant de le repousser Je soupirai et passai ma main dans mes cheveux à nouveau. Je regardai ma montre. J'étais en retard. « Merde! Je vais être en retard. » Je me levai en trombe embrassai le grand brun et couru à mon examen final. J'étais nerveuse et je savais que je n'avais pas besoin d'être inquiète, mais je ne contrôlais pas vraiment ce stress. Tout le long de l'examen, je ne regardais pas l'heure, j'étais dans les questions, toutes dans des genres différents. J'étais absorbé par chaque mot que je pouvais lire. Après deux heures, je posai mon crayon et retournai mes feuilles. Je levai les yeux vers le surveillant attendant son signal pour quitté. Lorsqu'il me fis signe, je me levai en silence, prit l'examen et lui tendit. Je fis un léger sourire et sortit du local. Deux semaines plus tard, j'étais déclaré agent de la police.
→« Lieutenant Mernendez... Vous avez un visiteur. » Je me retournai et affichai un sourire. Je me dirigeai vers lui posai un baiser sur son front. « Hola Papa. - Hola Me amor. » Je lui fis signe de s'asseoir et je m'installai sur la chaise juste à côté. J'étais fatigué, j'étais encore sur cette enquête qui me tourmentait, je m'en étais remis. Je ne pouvais pas la regler, puisque ce n'était pas ici, mais j'avais le droit à toute les informations. Mon père passa sa main sur ma joue et je revins à moi. Il afficha un sourire. « Te amo. - Oh Papa... Je t'aime aussi. - Qu'est-ce qu'il y a, il n'y a pas que la mort de Michael, que se passe-t-il Félicitee ? - Je suis enceinte. » Son visage devint neutre, puis une larme roula sur sa joue. Il me prit dans ses bras et me montra sa gratitude. Il me dit qu'il sera toujours là pour moi. Je l'embrassai à nouveau avant que l'on quitte le poste pour aller manger un morceau. Neuf mois plus tard, j'accouchai d'un beau garçon qu'elle décida de nommer Michael Antonio Mernendez. Le nom son père et le nom de mon père. Deux minutes plus tard, j'accouchai d'un autre garçon, malheureusement, il n'a put survivre. Je sentais mon coeur se fige à cette nouvelle, mais j'allais prendre soin de mon fils, peu importe ce que ça me coûterait. Je vivais toujours avec mon père et il m'aidait avec mon fils. Je vis Michael Antonio grandir et mon père vieillir. J'étais heureuse de voir mon fils s'épanouir, mais voir mon père allé de moins en moins bien me faisait du tord.
→ « Mon père était un grand homme, un homme qui ne laissait personne tomber. Mon père a toujours été dans ma vie, comme ma mère me l'avait dit. Elle avait raison. J'aimais mon père, je l'aimerai toujours, je l'aimerai à travers mon fils, à travers toutes obstacles qui se pointeras à moi. Te amo papa. » Je voyais mon fils pleurer sur le banc. Je baissai la tête, glissai mon index sous mes lunettes pour sécher une larme qui coulait sur ma joue. Je m'approchai de mon fils et m'installai près de lui pour le prendre dans mes bras. C'était à mon tour d'être là pour lui, comme mon père avait été là pour moi. J'étais silencieuse, la gorge noué écoutant les collègues de mon père dire leurs mots. Certains me firent rire, j'en apprendrai toujours sur lui. Il avait du coeur, il tenait à tout le monde. Je voyais bien que mon fils n'en pouvais plus. Je lui tapotai sur l'épaule et lui fit signe de sortir. Je me levai à sa suite et le suivit. Par chance, il n'était pas des plus jeunes quand son grand-père est décédé. Je replaçai mon manteau rendu à l'extérieur et me tournai vers mon fils. « Michael... Parles-moi - Maman, j'ai pas envie de parler. - Michael, tu sais que je suis là. - Je veux rentrer. » Je le guidai jusqu'à la voiture et on prit la direction de la maison. Cette maison où je vivais avec mon père depuis plusieurs années. Bon d'accord, Michael avait quand même seize ans quand il nous a quitté... Trois ans plus tard, j'avais toujours mon fils sous mon toit. Difficile d'avoir cette relation que j'avais eus avec mon père. Je suis là pour mon fils puisque je l'aime, mais prendra-t-il vraiment le temps de me dire qu'il m'aime. À dix-neuf ans, il fait ce qu'il veut.

Et toi alors, tu es qui ?

→ Prénoms : Andie ; → Pseudo : SerialWords. ; → Âge : vingt ans ; → Pays/Régions : Québec ; → Comment tu as atterri là ? : Un livre de visage ; → fréquence de connexion : autant que je peux environ 3/7 mais apparition constente ; → Un  commentaire ? : bloop ? ;