LEELU ☼ faites-vous la guerre pour me faire la cour.
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Sujet: LEELU ☼ faites-vous la guerre pour me faire la cour. Dim 18 Mar - 12:14
❝ ELLYN LEELU CALDIN
On me dit que le temps qui glisse est un salaud, que de nos chagrins il s'en fait des manteaux. - - - - - - - - - - - - - - - -
→ Prénoms : Ellyn Leelu ; → Nom : CALDIN ; → Âge : 33 ans ; → Nationalité : Bulgare ; → Orientation sexuelle : Pansexuelle ; → Civilité : Veuve ; → Métier : Écrivain ; → À Oakdale depuis un mois et demi ; → Groupe : Nasturtium Lane ; → Avatar : Mia Kirshner.
Fragments d'elle.
→ Trente et un décembre dix-neuf cent soixante-dix-huit ▬ dix mois ; en Bulgarie, encouragée par les cris joyeux de son paternel, Ellyn fait ses premiers pas. Elle ne sait pas qu'elle se met à marcher vers un avenir qui la brisera. Plus d'une fois. Ni qu'elle se relèvera. Toujours. → Vingt-neuf février dix-neuf cent quatre-vingt-deux ▬ quatre ans ; le premier anniversaire qu'il lui est possible de fêter le véritable jour de sa naissance. Sa mère prétexte une urgence et quitte le domicile familial, elle ne reviendra que le lendemain et ne lui souhaitera jamais un bon anniversaire. Ni cette année, ni les précédentes, ni les suivantes. «Fêter le jour où elle m'a déchiré de l'intérieur ? Lui offrir quelque chose alors que je lui ai déjà tout donner ; sa vie et la mienne ?» → Vingt-neuf février dix-neuf cent quatre-vingt-six ▬ huit ans ; son père lui offre un chat. Sa mère simule une allergie ; le chat disparaît mystérieusement quelques jours plus tard. Elle jure n'y être pour rien. Ellyn n'est pas dupe. → Dix-neuf cent quatre-vingt-sept ▬ neuf ans ; son père décède. Ellyn avait avec lui un lien très fort, elle l'adorait. Ils entretenaient une relation fusionnelle que sa mère à toujours jalousé. À sa mort Ellyn est abattue, elle pleure en continu pendant des jours, après avoir accepté d'admettre qu'il était parti pour toujours et que, désormais, son seul parent serait cette mère absente et sans réelle affection pour elle. Elle lui dira que si son papa est mort, c'est surtout de sa faute ; il se tuait à la tâche pour pouvoir la nourrir et lui offrir tout ce qu'elle désirait et, le soir, à-peine rentré elle lui sautait dessus et exigeait qu'il lui accorde du temps, de l'attention, et de l'énergie, comme s'il n'en avait pas déjà fait assez. Selon elle, il est mort de fatigue. Mais, au moins, il avait dès lors la chance de ne pas devoir continuer à la voir tous les jours, de ne pas avoir à la supporter, elle et ses crises de démence. Elle a neuf ans, seulement. Et sa propre mère, casanière et sans emploi – par choix –, ne la soutient pas, va même jusqu'à lui faire croire qu'elle est la cause de la disparition de son père. Alors que, ce qui l'aura emporté ne fut autre qu'une tumeur qu'il dissimula adroitement à tout le monde, jusqu'à ce que le subterfuge ne soit plus raisonnable et que la maladie submerge sa vaillance. → Vingt-cinq décembre dix-neuf cent quatre-vingt-sept ▬ neuf ans ; cette année-là, on ne fêta pas noël. Ni celles qui suivirent. Ellyn fut privée aussi de ses anniversaires et de toutes les autres fêtes existantes. Bien évidemment, il était néanmoins prohibé qu'elle puisse oublier les dates chères à sa mère. → Dix-neuf cent quatre-vingt-douze ▬ quatorze ans ; après plusieurs dizaines de brèves aventures qui ne menaient à rien, un autre homme emménage avec sa mère. La chambre originelle de le jeune fille est transformée en atelier pour l'artiste qui, dorénavant, partage leurs vies. Elle case ses affaires là où elle le peut, dort chez des amies, des voisins, des gens qu'elle connait à-peine ou tout bonnement sur le canapé miteux du salon mal entretenu. L'homme paraît négligé, lorsqu'il ne se balade pas nu. Il répète à qui veut bien l'entendre que cette véritable dame est sa muse, qu'elle l'inspire et qu'elle sera le fondement même de sa fortune à venir. Il est sûr de ce qu'il avance. Ellyn se moque doucement de ses espérances dans son dos et, avec sa meilleure-amie, elles imitent ce couple bancal qui, elle le sait, ne conduira à rien de foncièrement bon. « 27 avril 92 ; 22:45. Je suis entrée dans son atelier. J'avais pas le droit, on me l'a formellement interdit quelques douzaines de fois. Mais ils n'auraient pas dû. À quoi bon poser des interdits si ce n'est pour qu'on puisse les transgresser ? Personnellement, je pense que c'est la seule raison qui explique leur existence. S'ils n'avaient pas autant insisté, j'imagine que j'aurais pu résister à la tentation de pousser la porte. J'aurais pu. Pas ce soir. Ils sont sortis dîner (et avec quel argent, d'ailleurs ? Elle ne travaille pas et lui n'est rien ; je ne serais pas étonnée qu'ils s'enfuient tout naturellement sans payer). Alors, j'ai poussé la porte. Même pas verrouillée. Comme si leurs seules paroles m'empêcheraient d'y accéder. Je n'ai pas pris ça comme une quelconque forme de confiance. Puisque ce n'était pas ça. C'était simplement de l'indifférence, du dédain. Ou autre chose. N'importe quoi d'autre. Pas de quoi se vanter, en somme. J'ai soulevé le voile de sur ses peintures. Et je n'ai pu retenir mon rire. J'ai ris presque jusqu'aux larmes. Il ne deviendrait jamais connu et reconnu avec ça. C'est à cet instant-là que je su que ma mère n'avait jamais vu ses œuvres, elle non plus. Elle n'était pas stupide au point de se fiancer à un peintre sans avenir... Si elle savait aussi, qu'il découchait au moins deux fois par semaine et qu'il ne passait pas tous ses samedis soirs au bar avec ses potes. Mais j'ai beau essayer de la mettre en garde, elle ne veux rien entendre. D'après elle, je ne suis qu'une adolescente perturbée qui envie le bonheur aux allures de perfection de sa mère. Loula dit que, quand elle ouvrira les yeux, ce sera explosif ! Moi, je ne pense pas qu'elle finira par les ouvrir. Ou alors, il sera trop tard. » ; elle expose, dans son journal intime. → Dix-neuf cent quatre-vingt-treize ▬ quinze ans ; l'amant de sa mère commence à la toucher. Il la viole et la laisse, dans une orgie de rires gras. Plusieurs fois. Elle tombe enceinte. Ellyn espère trouver du réconfort auprès de sa mère, elle ne s'explique pas cette pensée, cette aspiration stupide : la femme ne voit que par son nouvel homme et refuse de croire ce que lui rapporte sa fille. Selon ses propres mots, ce n'est qu'un mensonge pour se rendre intéressante, rien d'autre. → Dix-neuf cent quatre-vingt-quatorze ▬ seize ans ; elle accouche, seule, dans la salle de bain. Douleur, tristesse et rage inénarrables. Elle ne garde pas l'enfant, consciente que ce serait abîmer la vie du nouveau-né. Un couple américain l'adopte ; elle ne ressent rien lors de la séparation. Elle n'est plus qu'une silhouette filiforme de rien, un vide démesuré l'habite, ses actes ne sont plus qu'automatismes. Elle quitte cette maison qui n'a jamais vraiment était la sienne et cette mère qui ne l'a jamais ne serait-ce qu'estimer. Quelques vêtements dans une valise, quelques objets de valeur dérobés et elle gagne un squat. Tout plutôt que rester dépérir ici indéfiniment. → Dix-neuf cent quatre-vingt-dix-huit ▬ dix-neuf ans ; un homme la renverse en voiture. Elle reste dans le coma pendant quelques jours et, pendant ce temps, le jeune passager de la voiture qui est la cause de son hospitalisation reste à ses côtés. Lorsqu'elle se réveille, il est le premier sur qui ses yeux se posent ; elle découvre sa main prisonnière de la sienne, alors qu'il appelle les infirmières. → Cinq août dix-neuf cent quatre-vingt-dix-huit ▬ vingt ans ; elle se marie avec cet homme gentil et attentionné, généreux, qui l'a veillé plusieurs jours et plusieurs nuits. Ils filent un amour considéré comme parfait, jusqu'à ce que... → Deux janvier dix-neuf cent quatre-vingt-dix-neuf ▬ vingt ans ; il commence à la frapper. Début d'un incessant cercle vicieux. Elle lui dit qu'elle le quitte, mais il lui offre des fleurs, une moue sincèrement désolée, quelques phrases adroites. Et il parvient à la convaincre de rester, il jure de ne pas recommencer, il exprime implicitement mais néanmoins clairement que, de toute façon, s'il l'a frappé, c'est de sa seule faute. Et ça recommence. Encore, encore, encore. Et, comme la majorité des femmes battues, elle le croit lorsqu'il s'excuse, lorsqu'il lui promet de ne pas recommencer, lorsqu'il luis susurre qu'il l'aime. Et, comme la majorité des femmes battues, elle reste alors même que, intérieurement, elle sait qu'il ment. Mari fallacieux, habile et hypocrite imposteur. L'homme dont elle est tombée amoureuse et qu'elle a épousé quelques mois plus tôt n'est plus. Évaporé. Au profit de cette créature malsaine. → Treize juillet dix-neuf cent quatre-vingt-dix-neuf ▬ vingt et un ans ; on lui apprend à la fois qu'elle était enceinte et qu'elle vient de perdre l'enfant. On lui signifie également qu'elle ne pourra plus jamais avoir d'enfant. Pour la première fois, elle pleure son poupon adopté. La fréquence des coups augmente, l'homme l'estime coupable et lui en veut de le priver égoïstement de progéniture. Elle devient totalement hermétique aux gifles, aux blessures, aux mots douloureux, aux cris, à tout le reste. Amorphe, presque inconsciente de ce qui l'entoure encore. Elle subit, c'est tout. Elle n'espère plus ; ça ne fait plus mal. → Deux mille ▬ vingt-deux ans ; elle tue son mari, en proie à une crise de folie. Une de plus. Elle plaide la légitime défense. Plus victime que réelle coupable, elle échappe à la prison. → Neuf avril deux mille ▬ vingt-deux ans ; dans la lueur pâle d'une bougie unique qui se consume doucement, elle lacère à-nouveau son journal intime. La seule chose qui, toujours, a tout partager de sa vie. « 7 avril 200 ; je crois. Je ne suis plus certaine de rien. Le temps ne semble plus s'égrainer de la même façon... Trop lent ou trop rapide, je ne sais pas. Je sais seulement que je n'en peux plus. Je sais seulement que je n'en veux plus. Que tout ça s'arrête. Ici et maintenant. Misérable. Pitoyable, pitoyable, pitoyable. Et si tout ceci n'était qu'un cauchemar ? Peut-être qu'une fois la bougie soufflée, la noirceur compacte de la nuit m'emmènerait vers un ailleurs-... Non, quelle utopie ! Ma vie n'est certes qu'un cauchemar. Mais, c'est un cauchemar dont je ne me réveillerai jamais. Jamais. […] Torturée. Mes sens, mon esprit, mon corps. Mes poignets et mes cuisses lacérés, tailladés par des lames aiguisées sur tes mots abjects. Les véritables pleurs de l’Homme sont son sang qui coule, qu’il verse, qui se déverse. J’écris sous l’impulsion d’une émotion forte, dévastatrice, qui me tort l’estomac, enserre mon cœur que je souhaiterais arracher et t’envoyer, te balancer à la figure, pour que tu comprennes mon mal. Mes maux. Pour que tu comprennes ce que tu me fais subir. Alors même que tu n’es plus là. Je ne peux bouger. Enchaînée par des cordes invisibles sur ce sol froid et sale. Vulgaire image. J’injurie, silencieusement ou en faisant appel à tout l’air de mes poumons, à toute la force néfaste de mes mots, j’injurie ton souvenir, ton souvenir si tenace. Me lever, avancer, te devancer. Parcourir un chemin trop long, tortueux, inaccessible. Mais je suis retenue. Par ces liens sombres, psychiques, ces vipères injectant directement dans mes veines leur venin inaltérable. Une nouvelle tentative. Sentir sous mes pieds brûlés la Terre qui se dérobe. On m’arrache, on m’éviscère, on plante ses ongles noirs dans mes organes vitaux, espérant m’observer me vider de ce fameux liquide écarlate. Un rien mortel. Un brin douloureux. Je m’arrache les cheveux, par poignées, semble-t-il. Ils pèsent trop lourd, ils me poussent un peu plus en arrière, attendant de voir se fracasser contre le carrelage taché de rouge mon visage défiguré. Je ne veux pas. Ils cachent ma vue, aussi. Même si elle n’est que noirceur. Je ne veux pas, je veux voir. Je veux te voir lorsque ce sera toi qui assénera le coup final. Boucles brunes esseulées, vestiges de ce qui fut ma fierté. Détruite. Une main gantée sur mes yeux blessés, le néant. Une autre contre ma bouche meurtrie, le silence. J’ai perdu l’espoir, j’ai perdu cette force qui me maintenait en vie, qui faisait de moi un être humain. Je plante mes dents, éclair fugace d’une lumière funeste, dans la chair tendre de mon bras mutilé. Je ne ressens plus rien. Ni la douleur, ni la peur, sentiment auparavant omniprésent, ni même la tristesse. J’en ris. L’ironie de la situation, la confusion, la détresse que je ne peux plus ressentir désormais. La folie. Elle me protège, elle me guérit, elle me permet l’oubli. A cet instant, la folie n’est rien d’autre qu’une bénédiction.» → Dix avril deux mille ▬ vingt-deux ans ; Ellyn est internée en hôpital psychiatrique. Prise de pulsions meurtrières et suicidaires. Elle a fracassé contre le trottoir la tête d'une voisine qui, elle en est certaine, riait d'elle dans son dos ; paranoïaque. Elle ne s'épargne pas non plus : elle a gravé ses cuisses et ses hanches, ouvert ses poignets et fait perler le sang sous ses yeux. Entre autre. Murs blancs. Draps blancs. Lumière blanche. Tout est blanc. Et ce blanc stéréotypé lui donne envie de vomir. Je ne suis pas folle. Je ne suis pas folle. Je ne suis pas folle. Je ne suis pas folle. Litanie incessante. Et pourtant. → Dix-huit octobre deux mille trois ▬ vingt-cinq ans ; elle sort de l'hôpital psychiatrique. De cet asile. De cette prison. Elle aura mis ces quelques trois années et demie à profit : elle se jure de ne plus jamais laisser qui que ce soit abuser d'elle et ce, de quelque façon que ce soit. Elle se sent forte. Plus forte. Combative. Presque invincible. Ellyn devient Leelu. Elle est devenue une autre. Complètement. Quelqu'un d'aisément méprisable. Mais, aussi antinomique que cela puisse paraître, elle a réapprit à sourire. Elle se surprend à penser que, peut-être, elle aussi pourrait aspirer à avoir un avenir. Mais pas ici. Non, pas ici. Plus jamais ici. → Premier novembre deux mille trois ▬ vingt-cinq ans ; elle fourre dans une valise les quelques choses qu'elle possède et s'envole pour la Russie. → Quatorze décembre deux mille trois ▬ vingt-cinq ans ; pour la première fois, elle appose son stylo sur une feuille avec l'intention de partager ses écrits. C'est la seule chose qu'elle sache faire, alors pourquoi ne pas allier loisir, talent et rente d'argent ? → Vingt-huit mai deux mille cinq ▬ vingt-sept ans ; point final. Elle envoi son manuscrit à quelques dizaines de maisons d'édition. → Premier novembre deux mille cinq ▬ vingt-sept ans ; après avoir collectionné durant plus de cinq mois de nombreuse lettres de refus de publication, une – enfin – accepte de la publier. De joie, elle saute partout. → Deux mille six ▬ vingt-huit ans ; Leelu n'est peut-être pas encore un auteur mondialement connu, mais elle est reconnue et a désormais les moyens de vivre une vie à laquelle elle osait à-peine aspirer, auparavant. Cigarette entre ses doigts délicats, talons haut qui claquent à chacun de ses pas saccadés, jupe courte glissant sur ses cuisses blanches. La martyre d'avant n'est plus qu'un mauvais souvenir, qu'une pâle image. La martyre d'avant n'est plus. → Deux mille douze ▬ trente-trois ans ; elle reçoit une lettre. De Loula. Cette dernière lui apprend qu'elle sait où se trouve son enfant. Leelu quitte Zaraïsk pour gagner Oakdale.
Et toi alors, tu es qui ? Dis-nous tout !
→ Prénoms : Jennifer ; → Pseudo : Jenny ; → Âge : 15 ans ; → Pays/Régions : France/Poitou-Charentes ; → Comment tu as atterri là ? : PRD ; → fréquence de connexion : 4 à 5/7 ; → Un commentaire ? : Il est WAHOU, votre forum ! *O* & pamplemousse. :3
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Sujet: Re: LEELU ☼ faites-vous la guerre pour me faire la cour. Dim 18 Mar - 12:29
OHLALA, je connais pratiquement aucun des avatars cités... A part Thomas, que j'adore, donc je voterais pour lui ! *boulet* En tout cas, bienvenue sur Oakdale !
Sujet: Re: LEELU ☼ faites-vous la guerre pour me faire la cour. Dim 18 Mar - 12:59
Après ça dépend aussi du personnage que tu as l'intention de faire...
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Sujet: Re: LEELU ☼ faites-vous la guerre pour me faire la cour. Dim 18 Mar - 13:17
Justement, je sais pas encore quoi en faire. Ce sera en fonction de l'avatar... :/
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Sujet: Re: LEELU ☼ faites-vous la guerre pour me faire la cour. Dim 18 Mar - 14:02
Comme les autres, je connais pratiquement personne , donc je suis pas d'une grande aide de ce côté-là .. courage pour faire un choix en tout cas, et bienvenue !
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Sujet: Re: LEELU ☼ faites-vous la guerre pour me faire la cour. Dim 18 Mar - 17:28
Merci ! J'ai finalement pris les choses dans l'autre sens et j'ai fini par choisir Mia Kirshner. Merci tout de même de m'avoir donné vos avis.
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Sujet: Re: LEELU ☼ faites-vous la guerre pour me faire la cour. Lun 19 Mar - 15:51
Mia, je déteste Jenny plus que n'importe qui, alors que je l'adorais dans la saison 1 avec Marina Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: LEELU ☼ faites-vous la guerre pour me faire la cour. Mar 20 Mar - 9:29
Merci ! Ahah. Moi, je sais pas trop ce que j'en pense. En général, je trouve quand même que c'est la plus censée, que sa façon d'agir est très humaine, c'est ce qui la rend flippante... Owi, avec Marina. *µ*
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Sujet: Re: LEELU ☼ faites-vous la guerre pour me faire la cour. Dim 8 Avr - 13:56
Vraiment désolée pour le retard ! J'aime beaucoup la façon dont tu as rédigé ta fiche ! Officiellement bienvenue !
❝ Ta validation.
Oui, oui, sa y est, tu es officiellement un habitant de Oakdale ! - - - - - - - - - - - - - - - - -
→ Bon comme tu as à tes pieds un staff trop mignon, on va te filer un coup de main pour vite te faire au forum et à son fonctionnement. Le forum est basé sur un système de points particulier, il est donc primordial de jeter un coup d’œil à la liste des points . Ensuite, toujours par rapport à ses points tu dois créer une fiche pour pouvoir les gérer convenablement. créer ta fiche "rapport de points" . ATTENTION. Tu peux gagner des points mais aussi en perdre. Tu peux venir réclamer des points où bien dénoncer quelqu'un qui doit en perdre. Pour ça, c'est par ici .Ensuite tu as les inconditionnels liens que tu peux trouver et/ou construire en te créant là aussi une fiche. créer ta fiche liens . Et puis si tu ne trouves pas tout à fait ton bonheur avec les liens qui te sont proposés, tu peux créer un scénario, voir plus, surtout pour te faire une famille. faire un scénario. Bon ben après je crois que tu connais le discours. On te souhaite un bon jeux parmi nous...n'ai aucune pitié pour les autres ! mouahahah. Faits de ta vie un rêve....ou un cauchemar. A toi de voir. et si tu as des questions, c'est par là cette fois. A très vite.
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Sujet: Re: LEELU ☼ faites-vous la guerre pour me faire la cour. Dim 8 Avr - 16:07
C'est rien. :3 Merci beaucoup, beaucoup ! ♥
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Sujet: Re: LEELU ☼ faites-vous la guerre pour me faire la cour.
LEELU ☼ faites-vous la guerre pour me faire la cour.