INDIANA ♆ Shut up and kiss me.

→ Prénoms : Mon premier prénom est Evangeline... Je le déteste. Alors je me sers de mon second prénom, qui est Indiana ; → Nom : Il n'est autre que Raheli ; → Âge : Je suis âgée de 18 ans ; → Nationalité : Je suis américaine de pure souche ; → Orientation sexuelle : J'aime bien trop les hommes pour être bisexuelle ou homosexuelle... Je suis donc hétérosexuelle ; → Civilité : Disons que c'est un peu... Compliqué. Mais célibataire ; → Études/Métier : Je suis toujours au lycée, en terminale ; → A Oakdale depuis ? Je m'y trouve depuis trois longues années ; → Groupe : J'ai beau ne pas être en couple, je me trouve dans le groupe Nasturtium Lane ; → Avatar : Emily Didonato ;

Et toi alors, tu es qui ? Dits nous tout !

→ Prénoms : C'est un secret ; → Pseudo : Peayne ; → Âge : 18 ans ; → Pays/Régions : France, Nord ; → Comment tu as atterri là ? : Par un top-site ; → fréquence de connexion : 7j/7, et une fréquence de RP de 2 réponses par semaines plus ou moins ; → Un commentaire ? : Ce scénario c'est de la bombe ! ;

→ Tu es indomptable... Tu l'as toujours été. Et ce, malgré les valeurs que t'ont inculqués tes parents, et surtout ton père. Tu te souviens avec une légère nostalgie de ces moments que vous passiez, à prier. Ton père, Rabbin, mettait un point d'honneur à ce que tu sois dans les bonnes grâces du Seigneur. Il priait pour tes réussites scolaires, pour que ta vie soit merveilleuse... Très pieuse, tu te montrais presque dégoûtée des garçons. Tu te voyais, restant chaste jusqu'à ce que l'état marital soit proclamé. Tu te réservais pour le garçon qui te mériterait entièrement... Pour celui qui ferait battre ton cœur au point que tu penserais qu'il allait exploser dans ta poitrine.
Ton enfance s'est déroulée d'une façon extrêmement banale. Tu allais à l'école, chaque jour, ne faisant qu'étudier encore davantage dès lors que tu rentrais chez toi. Extrêmement studieuse, tu décrochais à peine de tes bouquins, même lorsque tu mangeais. Que ce fusse des cours que tu te devais d'apprendre ou quelques passages de la Torah, tu étais passionnée de lecture & détenais une soif d'apprendre hors du commun. D'ailleurs, à l'école, la plupart des gens te prenaient pour l'intello de la classe. Ils venaient quémander ton aide dès lors qu'ils rencontraient une légère difficulté. Tu avais toutes les réponses, ou presque. De temps à autres, tu allais aider certains de tes amis à réviser pour des interrogations à venir. Tu étais appréciée, contrairement à la plupart des gens qui ont toujours le nez plongé dans leurs bouquins.

Mais alors survint l'adolescence, ainsi que son lot de problèmes. A partir de ce moment, tu renias plus ou moins l'autorité parentale. Cela ne t'empêcha pas de continuer de prier, secrètement, alors que tu clamais à ton père que tu ne croyais plus. Que toutes ces choses n'étaient que foutaises. Tu voulais te créer une place... Et tu ne savais plus réellement qui tu étais. Tu te posais énormément de questions, avec l'arrivée de la puberté. Et ce garçon que tu rencontras par le biais de ton oncle n'arrangea rien. Il était tellement... Exécrable ! Il t'agaçait. Et il respirait la perversité. Son âme, tu la voyais déjà souillée. Alors, pour l'énerver autant que pour déverser ton savoir, tu lui récitas quelques passages de ton livre sacré. Et tu ne t'arrêtas pas là. Il se complaisait dans son mutisme, t'accompagnant plus ou moins là où tu le voulais. Mais ça ne suffisait pas. Alors tu décidas qu'il devait venir à la synagogue, pendant les fêtes. D'une certaine manière, l'on peut dire que tu le lui ordonnas... Il ronchonna quelques instants, mais tu le savais : Il ne se soustrairait pas à ta demande. Tu ne comprenais pas vraiment pourquoi il restait avec toi, mais d'un côté, tu appréciais assez sa présence... C'était divertissant. De plus, il était le premier ami que tu te fis à Oakdale.

Néanmoins, tout fut clair lorsque ton oncle se ramena un jour chez vous en compagnie d'une jeune femme. Elle avait le même patronyme qu'Emile... Sa mère. Âgée d'à peine quinze ans, tu demandas à ton oncle de lui parler en aparté. Affichant un air angélique - ta famille se devait de penser que tu étais restée la même malgré ta rébellion, que tu ne disais aucune grossièreté... - tu lui demandas, bien qu'un peu furieuse :

« Sérieusement ? C'est à cause de toi que je suis obligée de me coltiner Emile ? Tu n'imagines même pas toutes les choses ignobles & obscènes qu'il me dit, lorsqu'on est tous les deux... Enfin, dans tous les cas, j'espère que c'est un bon c... Qu'elle est sympa & que vous vous entendez bien. Je suis contente pour toi... »

A la moue qui se dessina sur ton visage, ton oncle souri. Il savait pertinemment que tu n'étais pas contente pour lui, que ça t'embêtait profondément - pour ne pas être vulgaire - de devoir traîner avec le fils de sa copine. Mais ton oncle était un des seuls à te comprendre réellement, à savoir qui tu étais, malgré tes airs de sainte-ni-touche. Oh, bien sûr, tu en étais une... Mais ça ne t'avait jamais empêché de blasphémer - malgré tout ce en quoi tu croyais - & de dire quelques mots lourds de sens.

« T'es trop mignonne, Eve ! Allez, souris. T'es plus jolie comme ça. »

Il t'ébouriffa les cheveux sous les bruits de tes protestations étouffées. Ses doigts vinrent frôler ton ventre dans le but de te chatouiller, t'arrachant quelques rires malgré toi. Te reculant, tu le foudroyas du regard avant qu'un léger sourire ne se dessine sur tes lippes. Vous retournâmes à table, & tu dus supporter encore le jeune homme pendant tout le repas. Durant ce laps de temps, tu jetas quelques œillades à ton oncle, qui te les rendit. Tu l'adorais. Concernant Emile... Votre relation resta plus ou moins chaotique. De plus, tes grands-frères - très protecteurs - n'approuvaient pas réellement que tu passes ton temps avec un tel garçon, qui manquait, d'après eux, d'autant de valeurs.

« Indiana Jones, ramène ta tronche. »

Déclara t-il, alors que tu te trouvais non loin de lui. Tu levas les yeux au ciel, affichant une moue boudeuse par la même occasion. Non mais sérieux, c'était quoi ce surnom débile ?! Tes prunelles d'un bleu azur flirtèrent quelques instants avec le visage d'Emile avant de vagabonder fugacement sur son torse. Tu ne comprenais pas réellement pourquoi étant donné qu'il t'agaçait, mais il t'attirait incroyablement. Tu te plaisais à te demander quel sensation tu ressentirais si ses lèvres se posaient sur les tiennes, ou si elles venaient à toucher d'autres parties de peau. D'autres fois, alors que tu trouvais dans les bras de Morphée, quelques images un peu trop osées s'imposaient à toi. Mais tu les balayais dès lors que tu te réveillais... A dire vrai, tu te demandais ce qu'il t'arrivait. Tu mis tout sur le compte des hormones. Trouver un fautif, c'est tellement plus simple... Tu ne pouvais simplement pas t'avouer qu'il était mignon & qu'il te plaisait. C'était impossible. Alors pour contrer ces désirs qui t'assaillaient, tu ne cessais de te montrer plus acerbe encore, plus tranchante, plus sèche. Tu lui crachais ses quatre vérités à la tronche, & ce avec un plaisir sans bornes. Mais ça ne parvenait pas à faire disparaître ces sensations qu'il faisait naître en toi. Dès lors qu'il s'approchait, tu perdais quelques peu tes moyens, ton cœur battant la chamade dans ta poitrine.

« Va te faire foutre par un bouc, Pitwick. Je sais ce qui se trame. Pas besoin de me le dire... Ta mère veut se faire mon oncle. Ça se voit, & il me l'a dit. »

Tu haussas alors les épaules, comme si ça t'était indifférent. Mais voir la surprise de dessiner sur les traits d'Emile t'arracha un rire. Quoi, n'avait-il pas l'habitude que tu te montres si peu châtiée ? Non, en effet. Avec lui, tu tentais de te tempérer... Mais tu en avais assez de réprimer ta façon d'être. De t'auto-censurer. Tu restas à une distance correct, pour éviter d'être plus troublée encore. Vous discutâtes quelques instants de se fait. Il ne pouvait pas démentir tes propos... Peut-être que lui, ça le touchait. Quant à toi, si tu réprouvais l'idée qu'il fasse un jour parti de ta famille - non, pas ce sale con qui se jouait de toi & qui faisait naître tant de sentiments contradictoires en toi - tu étais quand même contente que ton oncle ait trouvé quelqu'un. Elle ne devait pas être si mal que ça, pour l'intéresser... Mais ça, jamais tu ne le dirais devant Emile. A moins que tu n'aies envie de le blesser. Après tout, tu ne connaissais pas sa mère...

La même année, tu te fis tatouer les initiales du jeune homme sur l'intérieur du poignet... Tu ne parvenais pas à le faire sortir de ta tête. Tu te consumais pour lui, et même si tu savais qu'il désapprouvait totalement, trouvant ça ridicule, cela ne t'empêcha pas de te laisser aller à cette pulsion. Il ne le vit d'ailleurs jamais, comme tes parents... En leur présence, tu ne faisais que te vêtir de vêtements longs, cachant cette preuve d'un amour qui serait sans doute impossible. Avec le désir de tes géniteurs de te trouver un homme convenable... Et le fait que tu détestais tellement Mile... Mais tu ne pouvais faire autrement. Tu l'avais dans la peau. Et à partir de ce moment là, tu l'eus encore davantage.

[...]

« Le fils Issaiah ? Sérieusement ? Tu l'fais exprès, hein ? Hein ? »

D'une certaine façon, la jalousie qui pointait dans sa voix te plaisait. Tu esquissas un sourire, qu'il ne vit sans doute pas étant donné la pénombre environnante. Voilà quelques années que tu connaissais Emile, mais sa soudaine possessivité envers toi était parfaitement nouvelle. Et étant donné ce qu'il faisait naître en toi, tu en étais quelque peu ravie, tu devais l'avouer. Tu le détestais toujours... Oh oui, ça oui. Tu ne pensais d'ailleurs pas que votre relation pourrait un jour changer. Tu le refusais, même. Mais ça t'était tellement agréable que tu envisageais le fait de pouvoir ressentir quelques sentiments - fugaces, infantiles - pour lui. Tu lui fis face, tes prunelles d'un gris acier se posant sur son visage. Tu n'avais pas oublié... Ces mots qu'il t'avait murmuré. Ces atrocités acerbes, acides, qu'il avait déversé sur toi comme une nuée de méchanceté. Tu avais encaissé, n'avait rien montré de ton trouble intérieur... Mais en vérité, tu lui en voulais. Tu étais décidée à ne pas te laisser faire. Tu avais remarqué ce regard qu'il posait sur toi. L'océan de luxure & d'envie qui y brillait lorsqu'il oscillait sur tes courbes. Alors tu avais décidé de cesser de repousser les demandes de tes parents. Ils voulaient te trouver un juif de bonne famille... Et t'arrangeaient des rendez-vous tous les soirs.

En réalité, pendant ces entrevues, tu t'ennuyais à mourir & ne faisais que penser davantage à Emile. Mais au moins cela le faisait-il réagir... Enfin. Tu le défias du regard, pointant du menton sa virilité bafouée. Tu pouvais aisément deviner sous ses traits encore un tantinet placides cette colère sourde qui anéantissait tout en lui. Tu adorais ça, qu'il sorte de ses gonds & montre enfin cet intérêt qu'il ressentait pour toi alors même qu'il ne cessait de répéter que tu n'étais qu'une gamine qui lui pourrissait la vie.

« Tu sais que je hais ce trou duc. Tu sais, tu sais. T'as rien à faire pour attirer mon attention que de te faire farcir par ces chiens en rute. Bordel, Raheli, qu'est-ce qui t'prend ? »

La façon dont il parla de toi te déplût au plus haut point. De quel droit se permettait-il de te juger de la sorte ?! Mais tu ne réagis pas, cherchant à provoquer davantage de rage en lui. Qu'elle soit contenue ou non, tu t'en fichais. Dans un murmure où pointait néanmoins la véhémence de tes propos & la légère colère qui persistait en toi, tu lui répondis, cassante, souhaitant sans doute mettre un terme à la conversation :

« Tu dis que des conneries, Mile... Que de la bonne grosse vieille merde avariée ! De plus, ça ne te concerne pas ! Occupes toi d'ton cul sérieux. »

Tu marquas une pause. Tes prunelles fixèrent le sol, s'attardant sur les brins d'herbe. Il t'énervait, t’agaçait... Et tu ne faisais que le désirer davantage à chaque instant. Tu aimerais tant le briser, te jouer de lui autant qu'il se joue de toi... Le manipuler, en faire ton pantin. Mais tu n'en avais nullement les moyens. Alors, excédée, tu déclaras :

« Tu sais quoi ? Laisse-moi tranquille, Pitwick. Dégage, remballe. Reviens pas... Surtout, reviens pas. »

Tu ne voulais plus souffrir en voyant son minois, souffrir de cette jalousie qui pourtant te plaisait tant. Tu ne l'aimais pas... Tels étaient les mots qui passaient en boucle dans ton esprit. Pas lui, chuchotait une voix intérieure. Il ne pouvait pas être l'homme qui t'était destiné... Pas même alors que tu ne te sentais bien & toi même qu'en sa présence. Tu t'approchas de lui, mue par une impulsion soudaine. Tu voulais lui faire comprendre que sa présence n'était plus souhaitée chez toi. Tu le gifles, & tes ongles - assez longs - s'enfoncent dans sa peau, créant quelques zébrures d'un rouge sang sur sa joue. L'hémoglobine lui donnait un air tout particulier... Et tu ne le désirais que davantage encore. Il t'attrapa alors, te murmurant les mots suivants.

« Ta gueule, Raheli. Juste... Ta gueule. »

Avant que tu n'aies eu le temps d'ajouter quoi que ce soit, ses lèvres se plaquèrent contre les tiennes avec une fougue & une passion à peine contenues. Si tu pensas quelques instants à lui résister, à le pousser, à te soustraire à lui, tu laissas néanmoins tomber l'idée. Tes mains frôlèrent ses flancs, remontant sous son t-shirt. Voilà quelques années que tu attendais ce moment... Et même si vous ne vous promettiez rien, tu le voulais. Plus aucune limite ne pouvait t'empêcher de succomber. Ses mains t'agrippèrent les fesses alors qu'il te forçait à reculer jusqu'à un mur. Vos lèvres ne se séparaient jamais. Vous vous cherchiez, vous dévorant sans cesse davantage, vous découvrant l'un l'autre... Pour le plus grand malheur & le plus grand bonheur de chacun. Ce n'était rien d'autre qu'un cercle vicieux à la con... Vous ne pouviez que vous désirer sans arrêt, & vous renier ensuite. Ce soir là, la lune éclaira votre union, la bénissant à sa manière... Pour que vous vous sépariez mieux le lendemain.

Suite à cela, rien ne fut davantage officiel. Vous ne vous aimiez pas... Aucun mot doux, aucun "je t'aime" ne franchissait vos lèvres dans le but de le transmettre à l'autre. Tu aurais voulu l'oublier, effacer ces lettres gravées sur ta peau, l'effacer lui, qui avait marqué ton cœur... Mais c'était impossible. Après cette "avancée" dans votre relation, tu déclaras à tes parents - courroucés - que tu refusais de voir d'autres garçons. Ils ne cessaient de te demander pourquoi, de tenter de savoir si tu avais quelqu'un, mais tu les ignorais. Pour toi, il était impossible qu'un autre garçon fasse battre ton cœur autant que Pitwick. Il était le seul à pouvoir te faire atteindre des contrées inexplorées, à te rendre heureuse d'une certaine manière... Alors tu ne parvins peut-être pas à tourner la page, mais tu fis tout ton possible pour faire taire cette douleur qui persistait, d'une certaine manière.

« Vas te faire foutre, Pitwick... Vas te faire foutre. Je te hais. »

→ Bon comme tu as à tes pieds un staff trop mignon, on va te filer un coup de main pour vite te faire au forum et à son fonctionnement. Le forum est basé sur un système de points particulier, il est donc primordial de jeter un coup d’œil à la liste des points . Ensuite, toujours par rapport à ses points tu dois créer une fiche pour pouvoir les gérer convenablement. créer ta fiche "rapport de points" . ATTENTION. Tu peux gagner des points mais aussi en perdre. Tu peux venir réclamer des points où bien dénoncer quelqu'un qui doit en perdre. Pour ça, c'est par ici .Ensuite tu as les inconditionnels liens que tu peux trouver et/ou construire en te créant là aussi une fiche. créer ta fiche liens . Et puis si tu ne trouves pas tout à fait ton bonheur avec les liens qui te sont proposés, tu peux créer un scénario, voir plus, surtout pour te faire une famille. faire un scénario. Bon ben après je crois que tu connais le discours. On te souhaite un bon jeux parmi nous...n'ai aucune pitié pour les autres ! mouahahah. Faits de ta vie un rêve....ou un cauchemar. A toi de voir. et si tu as des questions, c'est par là cette fois.
Une dernière chose, pour faciliter l'organisation (et notre travail) pourrais tu compléter le code suivant pour le bottin et le poster à la suite de ce message s'il te plait ? Merci d'avance.
A très vite.

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